lundi 9 décembre 2019

BAC 1

J'ai commencé mes études d'enseignante préscolaire en 2017. J'avais fait l'année précédente ma premier année dans une haute école en assistance social mais je n'ai pas du tout accroché.
En première année, il m'avais été demander ce que je pensais du métier d'institutrice ainsi que ce que je pensais qu'il fallait faire, avoir, etc.
Pour moi, le métier d'institutrice maternelle consistais à apprendre les bases. Je n'avais pas vraiment d'idées précise de ce qu'une institutrice devait avoir comme compétences ni de ce qu'elle pourrait mettre en place pour apprendre si ce n'est par le biais du jeu.

Je me suis donc lancée sans vraiment savoir dans quoi je m'embarquais et sans avoir de connaissances approfondies sur le métier.

Pour moi, l'institutrice devait pouvoir, tous le long des trois années préscolaire ; apprendre aux enfants la discipline, la propreté pour quelques-uns, l'autonomie pour certaines choses telles que manger, boire, aller aux toilettes seul, etc. Elle devait aussi pouvoir leur apprendre la vie en communauté ainsi que tout ce que cela implique (la politesse, le partage, le respect des autres et de soi-même, la communication, ...).

Concernant l'institutrice-même, j’estimais qu'il devait être de ses compétences de pouvoir et de savoir gérer un groupe d'enfants dans le respect.


L'évolution de mes représentations du métier suite a mon stage d'immersion et aux lectures effectuées n'a pas beaucoup changée.

Il y avait surtout eu beaucoup de choses apprises, mais le reste de ce que je pensais, c'est confirmé.


J'ai appris qu'il fallait sans cesse affiner les méthodes pédagogiques et essayer de varier un maximum les activités d'apprentissage.

Je pensais qu'il y avait une sorte de "programme " qui prédéfinissait les choses qu'il faut apprendre aux enfants et qu'il fallait simplement le suivre.

Il s'est avéré, par la suite, qu'il y a bien un "programme" mais que ce programme fonctionne en "compétence" c'est-à-dire qu'il y a des compétences à apprendre aux enfants mais libre aux institutrices de leur apprendre comme bon leur semble.

Cela implique une certaine liberté dans le métier et de la créativité pour l'enseignant ce qui est un point réellement positifs dans le métier.
 

J'ai appris aussi, suite a mes stages, qu'il fallait gérer tout le cotés administratif de sa classe soi-même et d’après ma maîtresse de stage, cela est le point le plus négatif du métier, mais je suis d'opinion que cela n'est pas une réelle tare.


Je pense que cette première année à été l'année où j'ai le plus appris sur le métier et la posture d'enseignant pur. Ensuite, en deuxième année, j'ai affiné mes connaissances, j'ai appris plus en détails le métier..

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